PARACHAT VAYIKRA
Dieu appelle Moïse, et lui détaille les prescriptions relatives aux offrandes: la olah (offrande en holocauste), la min'ha (oblation de farine), les shelamim (offrandes de « paix » ou de « paiement »), les hataot (offrandes en vue de réparer des fautes involontaires) propres aux particuliers, aux tribunaux et aux dirigeants, les ashamot (offrandes de « culpabilité »), à apporter notamment en cas de parjure.
Dieu appelle Moïse, et lui détaille les prescriptions relatives aux offrandes: la olah (offrande en holocauste), la min'ha (oblation de farine), les shelamim (offrandes de « paix » ou de « paiement »), les hataot (offrandes en vue de réparer des fautes involontaires) propres aux particuliers, aux tribunaux et aux dirigeants, les ashamot (offrandes de « culpabilité »), à apporter notamment en cas de parjure.
PARACHAT TSAV
Tsav (צו — Hébreu pour "prescris,” le sixième mot et premier distinctif de la parasha) est la 25e parasha (section hebdomadaire) du cycle annuel juif de lecture de la Torah et la seconde parasha du Sefer Vayikra (Livre du Lévitique).
Ayant détaillé à Moïse la fonction des offrandes, Dieu dit à Moïse de prescrire aux cohanim la manière dont celles-ci doivent être apportées, quand ils peuvent être consommés, et par qui. Il interdit la consommation du sang et de certaines graisses.
Ayant consacré Aaron et ses fils au service du sanctuaire, Moïse endosse temporairement le rôle du Cohen Gadol pour leur faire la démonstration pratique de la façon dont le culte doit s’opérer. Cette initiation dure sept jours
Tsav (צו — Hébreu pour "prescris,” le sixième mot et premier distinctif de la parasha) est la 25e parasha (section hebdomadaire) du cycle annuel juif de lecture de la Torah et la seconde parasha du Sefer Vayikra (Livre du Lévitique).
Ayant détaillé à Moïse la fonction des offrandes, Dieu dit à Moïse de prescrire aux cohanim la manière dont celles-ci doivent être apportées, quand ils peuvent être consommés, et par qui. Il interdit la consommation du sang et de certaines graisses.
Ayant consacré Aaron et ses fils au service du sanctuaire, Moïse endosse temporairement le rôle du Cohen Gadol pour leur faire la démonstration pratique de la façon dont le culte doit s’opérer. Cette initiation dure sept jours
PARACHAT CHEMINI
Au huitième jour de l’initiation d’Aaron et ses fils à leur office de cohen, a lieu l’inauguration effective du Mishkan. Le Cohen Gadol bénit le peuple, et un feu céleste dévore les offrandes. Les deux fils aînés d’Aaron, Nadav et Abihou, approchent alors une offrande d’encens qui n’avait pas été prescrite ; un feu divin les consume alors de l’intérieur, mais les cohanim n’ont pas le droit de marquer le deuil.
Dieu prescrit aux cohanim de ne pas officier en état d’ébriété, et leur prescrit de consommer la chair de certaines offrandes animales.
Dieu prescrit aux enfants d’Israël de ne consommer que des animaux purs, dont Il énumère les signes et espèces. Il révèle les lois d’impuretés liées aux charognes.
Au huitième jour de l’initiation d’Aaron et ses fils à leur office de cohen, a lieu l’inauguration effective du Mishkan. Le Cohen Gadol bénit le peuple, et un feu céleste dévore les offrandes. Les deux fils aînés d’Aaron, Nadav et Abihou, approchent alors une offrande d’encens qui n’avait pas été prescrite ; un feu divin les consume alors de l’intérieur, mais les cohanim n’ont pas le droit de marquer le deuil.
Dieu prescrit aux cohanim de ne pas officier en état d’ébriété, et leur prescrit de consommer la chair de certaines offrandes animales.
Dieu prescrit aux enfants d’Israël de ne consommer que des animaux purs, dont Il énumère les signes et espèces. Il révèle les lois d’impuretés liées aux charognes.
PARACHAT TAZRIA
Dieu énumère les lois d’impureté concernant la femme en couches, ainsi que leur délai et les offrandes à apporter passé ce délai1.
Dieu énumère les lois d’impureté concernant la femme en couches, ainsi que leur délai et les offrandes à apporter passé ce délai1.
PARACHAT METSORA
Le texte biblique énumère les lois d’impureté rituelle concernant le metzora, affligé de la tzara’at, qui peut frapper sa peau, sa chevelure, sa pilosité mais aussi ses habits et les murs de son habitation. Sont ensuite exposés les rites à accomplir une fois le mal disparu, ainsi que les règles d’impureté et rites de purification à suivre en cas de flux génital pour les hommes, et de menstrues pour la femme
Le texte biblique énumère les lois d’impureté rituelle concernant le metzora, affligé de la tzara’at, qui peut frapper sa peau, sa chevelure, sa pilosité mais aussi ses habits et les murs de son habitation. Sont ensuite exposés les rites à accomplir une fois le mal disparu, ainsi que les règles d’impureté et rites de purification à suivre en cas de flux génital pour les hommes, et de menstrues pour la femme
PARACHAT AHAREI MOT
Après la mort des fils d’Aaron, Dieu lui prescrit, par l’intermédiaire de son frère Moïse, le rituel sacrificiel de Yom Kippour, avec ses offrandes spécifiques, les rites à effectuer dans le Saint des Saints, où réside la Shekhina, la désignation d’un bouc émissaire et son renvoi à Azazel dans le désert.
Il interdit d’apporter des offrandes hors de l’enceinte du sanctuaire, insiste sur la valeur absolutrice du sang, ainsi que l’interdit de sa consommation.
Diverses pratiques sexuelles, dont l’inceste, les rapports avec une femme en période menstruelle, l’adultère, les rapports homosexuels et avec des bêtes, sont énumérées et interdites. Également interdite, la consécration des enfants à Moloch.
Il est souligné que c’est parce que les Canaanéens se sont complus dans ces pratiques que la terre les vomit
Après la mort des fils d’Aaron, Dieu lui prescrit, par l’intermédiaire de son frère Moïse, le rituel sacrificiel de Yom Kippour, avec ses offrandes spécifiques, les rites à effectuer dans le Saint des Saints, où réside la Shekhina, la désignation d’un bouc émissaire et son renvoi à Azazel dans le désert.
Il interdit d’apporter des offrandes hors de l’enceinte du sanctuaire, insiste sur la valeur absolutrice du sang, ainsi que l’interdit de sa consommation.
Diverses pratiques sexuelles, dont l’inceste, les rapports avec une femme en période menstruelle, l’adultère, les rapports homosexuels et avec des bêtes, sont énumérées et interdites. Également interdite, la consécration des enfants à Moloch.
Il est souligné que c’est parce que les Canaanéens se sont complus dans ces pratiques que la terre les vomit
PARACHAT KEDOCHIM
« Soyez saints, car Je suis saint. » Dieu énumère en conséquence, par l’intermédiaire de Moïse, une série de prescriptions, dont certaines sont déjà connues, et d’autres nouvelles. Elles constituent, avec une partie de la parasha précédente, ce qui est dénommé le Code de sainteté dans les milieux académiques des études bibliques.
Il insiste sur l’amour du prochain comme soi-même, de l’étranger, et le respect dû aux sages et aux anciens
« Soyez saints, car Je suis saint. » Dieu énumère en conséquence, par l’intermédiaire de Moïse, une série de prescriptions, dont certaines sont déjà connues, et d’autres nouvelles. Elles constituent, avec une partie de la parasha précédente, ce qui est dénommé le Code de sainteté dans les milieux académiques des études bibliques.
Il insiste sur l’amour du prochain comme soi-même, de l’étranger, et le respect dû aux sages et aux anciens
PARACHAT EMOR
Dieu demande à Moïse de dire aux cohanim les prérogatives liées à leur statut sacerdotal, afin de maintenir leur pureté : s'éloigner des cadavres, même celui d'un proche pour le Cohen Gadol, épouser une femme vierge, ne pas officier en état d'impureté, se purifier avant de consommer des offrandes destinées aux cohanim en cas d'impureté. Dieu énonce ensuite les tares empêchant une bête d'être agréée, donc utilisée, lors d'une offrande. Il décrit ensuite le calendrier liturgique annuel, ainsi que les rites, offrandes et fêtes y associés, puis Il décrit le calendrier rituel quotidien, avec l'allumage du candélabre, la préparation des pains de présentation. La parasha se clôt sur l'épisode d'un blasphémateur et son châtiment. Les paramètres et modalités d'un jugement civil et pénal sont alors exposés
Dieu demande à Moïse de dire aux cohanim les prérogatives liées à leur statut sacerdotal, afin de maintenir leur pureté : s'éloigner des cadavres, même celui d'un proche pour le Cohen Gadol, épouser une femme vierge, ne pas officier en état d'impureté, se purifier avant de consommer des offrandes destinées aux cohanim en cas d'impureté. Dieu énonce ensuite les tares empêchant une bête d'être agréée, donc utilisée, lors d'une offrande. Il décrit ensuite le calendrier liturgique annuel, ainsi que les rites, offrandes et fêtes y associés, puis Il décrit le calendrier rituel quotidien, avec l'allumage du candélabre, la préparation des pains de présentation. La parasha se clôt sur l'épisode d'un blasphémateur et son châtiment. Les paramètres et modalités d'un jugement civil et pénal sont alors exposés
PARACHAT BEHAR
Dieu prescrit à Moïse sur le mont Sinaï le repos septénaire de la terre, et institue le jubilé tous les cinquante ans, au cours duquel les terrains et habitations hors des villes fortifiées rendus, et les esclaves libérés. Il est alors précisé les conditions dans lesquelles un Hébreu peut tomber en servitude, comment le traiter et comment le racheter
Dieu prescrit à Moïse sur le mont Sinaï le repos septénaire de la terre, et institue le jubilé tous les cinquante ans, au cours duquel les terrains et habitations hors des villes fortifiées rendus, et les esclaves libérés. Il est alors précisé les conditions dans lesquelles un Hébreu peut tomber en servitude, comment le traiter et comment le racheter
PARACHAT BEHOUKOTAI
Dieu décrit à Moïse les bénédictions dont il comblera les enfants d'Israël s'ils obéissent à Ses décrets, ainsi que les malédictions dans le cas contraire. Il leur assure cependant que même dans ces cas, Il ne reniera pas Son alliance avec eux et les ramènera sur leur terre. Sont enfin exposées les règles de consécration d'un bien au sanctuaire, la façon d'évaluer un bien ou une personne en vue de consacrer sa valeur monétaire, la façon de rendre un bien consacré à un usage profane en transférant sa sainteté nominale sur une somme d'argent. Ainsi se clôture le Livre du Lévitique
Dieu décrit à Moïse les bénédictions dont il comblera les enfants d'Israël s'ils obéissent à Ses décrets, ainsi que les malédictions dans le cas contraire. Il leur assure cependant que même dans ces cas, Il ne reniera pas Son alliance avec eux et les ramènera sur leur terre. Sont enfin exposées les règles de consécration d'un bien au sanctuaire, la façon d'évaluer un bien ou une personne en vue de consacrer sa valeur monétaire, la façon de rendre un bien consacré à un usage profane en transférant sa sainteté nominale sur une somme d'argent. Ainsi se clôture le Livre du Lévitique
LA SIGNIFICATION DES SACRIFICES
La législation relative au culte des sacrifices, explique le rabbin Elie MUNK dans sa Voix de la Thora (Vol. III, p. 6), commence par l’holocauste (‘ola). Suivent ensuite les trois autres catégories : rémunératoires (chelamim), délictif (acham), et expiatoire (‘hatath). Or, un examen attentif des motifs qui sont à l’origine de ces catégories nous révèle que le culte des sacrifices, tel que la Tora le conçoit, ne peut s’adresser qu’à un peuple qui a atteint un très haut niveau moral et qui aspire à un degré encore plus élevé. Rien, en effet, ne vient rappeler dans ces motivations les objectifs dont s’inspirèrent les religions païennes : l’apaisement de la colère des dieux, la recherche de leurs faveurs ou l’absolution des forfaits commis par les hommes. Les catégories précitées ont une finalité qui se situe sur un plan tout différent.
L’holocauste (‘ola) est offert quand un péché a été commis en pensée ou quand l’accomplissement d’une mitsva a été simplement omis.
Le sacrifice rémunératoire (chelamim) constitue l’offrande présentée à Hachem à l’occasion d’un voeu formulé en Son honneur (nédèr ou nedava), ou d’une action de grâce pour un bienfait dont on a été l’objet (toda), ou de la célébration d’une fête de pèlerinage (chalmei ‘haguiga we-sim‘ha et chalmei tsibbour), ou encore à la fin d’une période de naziréat (chalmei nazir).
Le sacrifice délictif (acham) est offert en expiation d’un crime de sacrilège (acham me‘iloth), ou d’un faux serment relatif à un objet volé ou soustrait ou ravi (acham guezèloth), ou dans certains cas limites tels que celui d’un doute sur un péché commis ou non (acham talouï), ou celui du mariage d’un esclave juif avec une esclave cananéenne non affranchie (acham chifra ‘haroufa), ou celui d’un nazir devenu impur et d’un lépreux purifié de sa. lèpre (acham nazir ou-metsora’).
Quant au sacrifice expiatoire (‘hatath), il est réservé aux cas où un péché a été commis involontairement (be-choguèg), par erreur ou par mégarde, et ceci de la part d’un particulier, d’un phylarque, d’un roi (‘hatath nassi), des membres du Sanhédrin ou du Grand-Prêtre (kohèn machia‘h, we-hé‘élam davar), etc.
Cette énumération suffit à elle seule à nous faire apprécier la haute valeur morale et religieuse que la Loi juive a su conférer à l’acte du sacrifice. Nulle part il n’est question de pouvoir obtenir le pardon pour un péché en allant offrir une bête de sacrifice au Temple de Hachem, si le méfait a été commis sciemment ou avec préméditation. La sanction en tel cas est réservée au tribunal céleste ; elle sera exécutée par Hachem et non par les hommes, ou alors le pardon pourra être obtenu, comme le disait Abbayei, par une vie conforme à la Tora, par les prières et par les bonnes œuvres (Roch hachana 18a).